Volleyball Féminin Nouvelles

Tout au long de la saison 2017-2018, U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre nouvelle série d’entrevues « Faites connaissance avec… »

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  • Nom : Jade Griffiths
  • École : Université Ryerson
  • Sport : Volleyball féminin
  • Position : Attaquante extérieure
  • Année d’admissibilité : 4
  • Programme : Communication professionnelle
  • Ville natale : Windsor, Ontario

 

1. Qu’est-ce qui vous a attirée à l’Université Ryerson? 

J’ai été attirée à Ryerson surtout à cause du programme académique qu’elle offre. Les étudiants de la Faculté de communication et de design savent qu’ils apprennent de la crème de la crème et qu’ils seront bien préparés pour le véritable monde industriel. Au début, j’hésitais à l’idée de quitter la maison, mais je savais qu’il me fallait le faire pour poursuivre le programme académique qui répondait le mieux à mes besoins. Le programme de communication professionnelle me semblait offrir des occasions d’explorer divers créneaux de communication sans avoir à me fixer exclusivement sur le journalisme, exclusivement sur les relations publiques, exclusivement sur le graphisme, etc.. et ce fut le cas !   

2. Quel est votre meilleur souvenir et quelle est votre plus belle réussite en tant qu’étudiante-athlète U SPORTS ?  

Mon meilleur souvenir et ma plus grande réalisation sportive à titre de membre de l’équipe féminine de volleyball de Ryerson est d’avoir remporté la médaille d’argent du SUO à ma deuxième année — le meilleur résultat du programme depuis 2001. 

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3. Où pensez-vous que votre parcours universitaire vous mènera ?  

L’une des meilleures choses du service des sports de Ryerson est notre excellent programme de bénévolat (R. A.V.E) — au sein duquel des étudiants-athlètes sont tenus de compléter un minimum de 8 heures de bénévolat et 1 initiative d’équipe chaque année. J’ai toujours eu une passion pour le bénévolat et mes expériences auprès de R.A.V.E n’ont fait qu’accroître cette passion. J’étudie en communications et j’aimerais y rester, mais préférablement dans le cadre d’un organisme à but non lucratif — ou peut-être même fonder mon propre organisme un jour. 

Je savais, en venant à l’Université, que je ne souhaitais pas poursuivre une carrière sportive professionnelle. J’ai donc dû me concentrer davantage sur mes études. Cela dit, le volleyball a toujours tenu une tellement grande place dans ma vie que je sais que j’y serai toujours active d’une façon ou d’une autre — peut-être comme entraîneuse d’une équipe club.   

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4. Qui a eu la plus grande influence sur votre carrière sportive ?  

Définitivement, mes parents. Tous deux ont été des athlètes multisports dans leur jeunesse ; ils ont concouru en athlétisme au niveau universitaire. Leur intérêt pour les sports a vraiment déteint sur moi. Ils m’ont toujours encouragée à participer à une variété de sports et je pense que cela a contribué à faire de moi une meilleure athlète. Ils ont toujours été une source inépuisable d’encouragement pour moi tout au long de ma carrière sportive — ils ont conduit d’un bout à l’autre de la province pour m’acclamer et m’encourager lors de compétitions et m’ont soutenue à travers chaque blessure. Je ne serais définitivement pas l’athlète ni la personne que je suis aujourd’hui si ce n’était pas de mes deux plus fervents et fidèles partisans.   

5. Avec qui du monde du sport, passé ou présent, aimeriez-vous diner ou souper ? Pourquoi ?  

Je choisirais quelqu’un comme Spud Webb — quelqu’un qui a réussi contre toute attente dans son sport. Pendant des années, je me suis fait dire que je ne pourrais jamais accéder au niveau suivant au volleyball à cause de ma taille. Pourtant, il y a tellement de personnes dans le monde du sport qui se sont fait dire quelque chose de semblable et qui ont fait exactement le contraire. Je crois définitivement que ce serait le cerveau d’un individu comme ça que j’aimerais « explorer » ; je suis persuadée que ce serait un échange amusant et inspirant autour d’une table. 

6. Quel est votre rituel d’avant match ? Avez-vous des superstitions/idiosyncrasies autour de votre préparation pour une compétition ?

Je n’ai aucune superstition concernant le jour de match mais j’ai certaines choses que je fais pour me préparer. J’écoute habituellement des enregistrements de dialogues internes positifs ou divers récits de poèmes/chansons par mon auteur et conférencier préféré : Steven Furtick. J’ai aussi été taquinée parce que je porte TOUJOURS un pantalon de survêtement pour l’échauffement, mais j’ai subi suffisamment d’élongations musculaires pour savoir qu’il me faut un bon échauffement avant un match ou une séance d’entraînement.

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7. Quelle musique écoutez-vous pour vous motiver avant une pratique ou un match ? 

« You Can’t Stop Me » de Andy Mineo et « I Can Handle It » de Steven Furtick 

8. Quel est votre média social préféré ?  

Aussi cliché que ça puisse paraître, je suis une inconditionnelle de Buzzfeed. 

9. Si vous pouviez essayer un autre sport, quel serait-il ? Pourquoi ?  

Mes sœurs et moi étions obsédées par le rugby 7 des femmes durant les Olympiques 2016 à Rio ! Ces femmes étaient en forme, fortes et féroces. Nous étions tellement inspirées de les voir concourir. Le rugby est définitivement un sport qui peut démontrer aux jeunes filles qu’il est possible d’être fortes, compétitives et sportives tout en demeurant une fille. 

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10. Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous est arrivée en tant qu’athlète ? 

Dans ma deuxième année, j’étais trop près du « box » alors que j’effectuais un saut et je me suis fracturé la main droite (ma main dominante). Heureusement, la saison était terminée.