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Julie Dionne
Rouge et Or de l'Université Laval
Directrice adjointe au Service des activités sportives et responsable du programme Rouge et Or

1. Comment avez-vous obtenu votre poste actuel et qu'est-ce que vous appréciez le plus à propos de votre travail?

J’étais d’abord Directrice-générale du RSEQ de la région de Québec et de Chaudière-Appalaches et j’avais été mis au courant que Gilles Lépine quittait puisqu’il faisait partie de mon conseil d’administration. J’ai tenté ma chance tout simplement en répondant à l’offre d’emploi. Mon expérience en gestion et comme entraîneuse en plus du fait que je sois une ancienne du programme Rouge et Or en basketball a possiblement aidé ma candidature. J’adore le fait que je puisse travailler dans le monde du sport, car c’est une passion pour moi depuis tellement d’années.

2. Qui a eu le plus d'influence sur votre carrière?

Dans ma carrière sportive, les entraîneurs, dont Linda Marquis avec qui j’ai la chance de travailler aujourd’hui et qui m’a inculqué de belles valeurs et qui a toujours mis l’humain avant la performance sportive. Dans ma carrière professionnelle, tous les gens que je côtoie au quotidien et qui m’amènent à me dépasser.

3. Quel est votre plus grand moment sportif ou votre plus belle réussite?Julie_Dionne_1.jpg (166 KB)

Comme joueuse au niveau universitaire, ma 5e année avec une finale nationale avec une équipe extraordinaire. Comme entraîneuse, les 3 championnats canadiens consécutifs ACSC remportés. Comme gestionnaire dans le sport, être capable de rassembler l’équipe de travail et amener les gens à travailler sur un but commun.

4. Comment définiriez-vous un étudiant-athlète à l’Université Laval?

Il est passionné, curieux, l’étudiant-athlète n’accepte pas le statu quo. Il souhaite se surpasser dans toutes les sphères de sa vie : travail, sport, vie personnelle. Nous faisons tout pour les aider.

5. À quoi ressemble le succès pour le programme sportif de l’Université Laval?

Le succès se définit non pas par des victoires et des défaites, mais plutôt par l’accomplissement total de l’étudiant-athlète. S’il sort du programme en étant un meilleur individu qui a développé ses qualités, qu’il a réalisé ses objectifs et qui est maintenant prêt à affronter le milieu professionnel avec les meilleurs outils possible, le travail sera fait!

6. Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans le monde sportif d'aujourd'hui?

Le monde évolue tellement vite, les choix sont nombreux et la compétition est forte.  Il faut continuer de se renouveler et d’être créatif dans ce que nous proposons.

7. À quelle place souhaitez-vous voir le sport universitaire canadien dans 3 à 5 ans?

Qu’il continue d’évoluer et d’être mis au premier plan. Les ÉTUDIANTS-athlètes sont des modèles extraordinaires pour nos jeunes et des ressources incroyables pour les futurs employeurs. Le sport et l’éducation doivent toujours continuer de vivre ensemble et le tout doit être mieux reconnu par nos gouvernements.

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8. Si vous pouviez vous asseoir pour dîner avec une personne du monde sportif (athlète, entraîneur ou gestionnaire), qui serait-ce? Pourquoi? De quoi parleriez-vous?

Michael Jordan aurait certainement été le sportif qui a été le plus important dans ma jeunesse. C’est un gagnant qui a transformé l’industrie du sport et qui a su gérer la pression. Si je pense à un athlète aujourd’hui, j’aurais aimé m’entretenir avec Laurent Duvernay-Tardif, incroyable personnalité et excellent modèle d’étudiant-athlète qui a su aller au bout de ses deux rêves : devenir médecin et jouer dans la NFL!

9. Que diriez-vous à un fan de sport qui n'a jamais regardé ou assisté à un match ou une compétition U SPORTS?

Qu’il le fasse tout simplement. Il constatera rapidement la qualité du spectacle qui lui est offert et ce, dans tous les sports.

10. Qu’aimez-vous faire lorsque vous n’êtes pas au travail?

Je suis souvent au travail (!) mais lorsque ce n’est pas le cas, j’essaie de passer le plus de temps possible avec ma famille, car ce sont des moments précieux. J’ai deux garçons en bas âge et je veux m’assurer qu’ils sachent que je suis présente malgré un travail exigeant.