Volleyball Féminin
Gray de Laurentienne et Bélanger de Montréal nommés athlètes de l’année BLG U SPORTS
U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre nouvelle série d’entrevues « Faites connaissance avec… ».
- Nom : Claire Mackenzie
- Établissement : Université de Waterloo
- Sport : Volleyball féminin
- Position : Attaquante
- Année d’admissibilité : Cinquième année
- Programme : Récréologie et loisirs
- Ville natale : Vancouver, Colombie-Britannique
1. Qu’est-ce qui vous a fait venir à l’Université de Waterloo?
J’ai choisi Waterloo parce qu’elle m’offrait exactement le programme académique que je cherchais, et parce que j’aimais le merveilleux campus. J’ai également beaucoup aimé l’équipe et le programme de volleyball. L’université venait d’embaucher notre entraîneur actuel, Richard Eddy. Il était déterminé à donner une nouvelle orientation au programme et je voulais en faire partie. Ma visite s’est très bien passée et je me suis tout de suite entendue avec les autres filles de l’équipe. Elles ont été très accueillantes, et d’emblée, je me suis sentie membre à part entière de l’équipe.
2. Quels sont votre meilleur souvenir et votre plus belle réussite en tant qu’étudiante-athlète de U SPORTS?
Mon meilleur souvenir en tant que joueuse de volleyball remonte à la fin de la saison dernière. Notre équipe était à égalité avec deux autres au classement de la conférence et il nous restait trois matchs à jouer. Nous savions que pour avancer et nous tailler une place dans les séries de SUO, nous devions battre les deux grandes équipes avec lesquelles nous étions à égalité. Nous étions confiantes, car nous savions que nous avions un travail à faire et c’est ce que nous avons fait en battant les deux équipes en trois manches, deux jours de suite. Nous avons joué merveilleusement bien. Nous avions décidé, en tant qu’équipe, que nous le voulions très fort et nous étions déterminées à le faire ensemble; c’était une sensation merveilleuse.
C’est à ma quatrième année que j’ai réalisé mon plus grand exploit individuel à l’Université de Waterloo, lorsque j’ai été nommée dans la première équipe d’étoiles et que j’ai été finaliste pour le prix de l’athlète féminine de l’année de Waterloo pour la deuxième fois.
3. Où pensez-vous que votre parcours universitaire vous mènera?
L’année prochaine, lorsque j’aurai terminé mes études, j’espère continuer à jouer au volleyball. Je souhaite entrer au centre d’entraînement à temps plein de l’équipe nationale à Richmond, en Colombie-Britannique. J’aimerais continuer à m’améliorer, et je l’espère poursuivre une carrière internationale en volleyball pendant quelque temps avant d’entreprendre ma carrière. Avec mon diplôme, j’aimerais mener une carrière dans le domaine des loisirs, par exemple comme gestionnaire d’un centre de loisirs.
4. Qui a eu la plus grande influence sur votre carrière sportive?
La personne qui m’a le plus influencée est mon père. Il m’a encouragée à poursuivre le volleyball lorsque je ne croyais pas en moi-même. Il m’a fait comprendre que j’étais assez forte pour le volleyball universitaire. Il m’a également aidée à préparer ma vidéo de recrutement. Il comprend ce que c’est d’être un athlète parce qu’il en a été un également. C’est aussi parce qu’il a été un athlète qu’il a su comment m’aider à me renforcer sur le plan mental. Il regarde tous mes matchs en ligne à la maison, à Vancouver et a traversé le pays à plusieurs reprises pour venir assister à mes matchs à Waterloo. Il m’appuie depuis que j’ai commencé à jouer en 8e année, même si personne de ma famille n’avait joué au volleyball auparavant.
5. Avec qui du monde du sport, passé ou présent, aimeriez-vous dîner ou souper? Pourquoi?
Je pense que j’irais souper avec Cristiano Ronaldo. Même si j’aime regarder le volleyball, j’aime aussi regarder le soccer. Il connaît beaucoup de succès dans son sport et compte plusieurs réalisations et prix à son palmarès. J’aimerais lui poser les questions suivantes : « Quels types de difficultés avez-vous rencontrées dans votre parcours pour devenir un des meilleurs athlètes au monde? » ou « Que faites-vous pour vous préparer pour un match? », « Est-ce que cela vous arrive d’être nerveux? ».
6. Quel est votre rituel d’avant match? Avez-vous des superstitions/idiosyncrasies autour de votre préparation pour une compétition?
Les jours de match, ma routine consiste à me réveiller à 8 h 30 et à prendre un petit-déjeuner nutritif, toujours le même. Vers 11 h, je vais sur le terrain pour faire quelques services et quelques passes pour me préparer pour le match et ensuite je rentre à la maison pour me préparer un dîner léger et regarder quelques matchs enregistrés et des vidéos de moi-même. Ensuite, je prépare mon repas d’avant-match, qui consiste en général en un bol de riz ou de pâtes. Je me rends avant tout le monde au gymnase, soit vers 15 h 30 pour avoir une heure à moi toute seule afin de visualiser, faire des exercices au rouleau et écouter de la musique. Ensuite, à l’arrivée du reste de l’équipe, c’est le moment des soins thérapeutiques et de l’application de ruban adhésif sur les parties de mon corps qui en ont besoin. À 16 h 45, je retourne au gymnase pour d’autres exercices avec l’équipe, et l’échauffement commence à 17 h.
7. Quelle musique écoutez-vous pour vous motiver avant une pratique ou un match?
« Till I Collapse » d’Eminem est la chanson que je préfère écouter pour me motiver.
8. Quel est le compte que vous suivez le plus sur les médias sociaux?
Le compte Instagram de Warriors Volleyball @warriorswvb est celui que je suis le plus!
9. Si vous pouviez essayer un autre sport, quel serait-il? Pourquoi?
Je jouerais au soccer. J’y ai joué de l’âge de 5 ans à l’âge de 18 ans et j’ai adoré, toutefois, j’aime encore plus le volleyball.
10. Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous est arrivée en tant qu’athlète?
À ma deuxième année, lors d’un match contre Brock, j’ai tenté un smash et ma chaussure est tombée pendant l’action. Premièrement, je suis tombée, ensuite j’ai dû jouer en chaussettes jusqu’à la fin de l’échange, qui a d’ailleurs duré assez longtemps!