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U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre série d’entrevues « Faites connaissance avec… » 

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  • Nom : Larry Read
  • École : Université de Thompson Rivers
  • Poste : Directeur de l’information sportive
  • Ancienneté : 11 ans
  • Poste précédent : Animateur/journaliste/commentateur sportif CFJC TV/98.3 CIFM/B100                          Radio
  • Ville natale : Chilliwack, C.B. 

1. Comment avez-vous obtenu votre poste actuel et qu'est-ce que vous appréciez le plus à propos de votre travail ?

Je suis, en réalité, le premier directeur de l’information sportive (DIS) à Thompson Rivers. J’ai toujours voulu travailler dans le domaine des communications/relations publiques avec un organisme sportif. Je connaissais les entraîneurs pour les avoir interviewés à titre de journaliste/animateur à CFJC et l’un d’entre eux, Pat Hennelly, m’a suggéré de soumettre un résumé. On connaît la suite...

2. Qui a eu le plus d’influence sur votre carrière ? 

Mes collègues. Je les remercie d’ailleurs tous, mais je tiens particulièrement à remercier Scott Stewart (Trinity Western), Matt Packwood (Brandon),  Ben Matchett (Calgary), Braden Konschuh (Regina), Ali Baggott (Victoria) et Wilson Wong (UBC) — qui font ce travail depuis encore plus longtemps que moi.

3. Quel est votre meilleur moment sportif, votre plus grande réalisation ?

Autre que d’avoir commenté les championnats nationaux (volleyball masculin SIC 2010 et soccer masculin U SPORTS 2017), je crois que c’est de travailler avec les athlètes et de contribuer à la visibilité du Wolfpack de Thompson Rivers dans la communauté. Sur une note plus personnelle, le privilège d’être l’un des pionniers de la webdiffusion de U SPORTS : je suis fier de réaliser que nous faisons partie de ceux qui sont à la fine pointe de la technologie et de la diffusion.

4. Comment définiriez-vous un étudiant-athlète de l’Université de Thompson Rivers ?

Je pense qu’un étudiant-athlète de Thompson Rivers est une personne remarquable. Je trouve tout à fait exceptionnelle la façon dont ces jeunes adultes trouvent moyen d’équilibrer tout ce qu’impliquent leurs heures d’entraînement, de matchs, de déplacements et, dans notre cas, de participation à au moins cinq événements communautaires. J’admire aussi la manière dont ils gèrent le statut de « célébrité » imputé aux étudiants-athlètes de l’UTR à Kamloops, C.B.

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5. À quoi ressemble le succès pour le programme sportif de Thompson Rivers ?

Nous réussissions bien sous la tutelle de Ken Olynyk. Je ne nous vois qu’accéder au prochain niveau avec notre directeur des sports actuel, Curtis Atkinson, au gouvernail.

6. Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans le monde sportif d’aujourd’hui ?

Le plus grand défi pour un DIS est de répondre aux attentes avec des ressources humaines et des budgets limités.   

7. À quelle place souhaitez-vous voir le sport universitaire canadien dans 3 à 5 ans ?

J’aimerais que l’immense talent que nous avons parmi nos étudiants-athlètes soit mieux connu et que le secteur privé investisse dans le soutien des programmes sportifs universitaires.

8. Que diriez-vous à un fan de sport qui n’a jamais regardé ou assisté à un match ou une compétition U SPORTS?

Tu ne sais pas ce que tu manques ! Le calibre des athlètes est extraordinaire. Tu as la chance de voir, aujourd’hui, les étoiles canadiennes de demain. Regarde l’équipe séniore nationale de volleyball masculin. Un grand nombre d’entre eux évoluaient au sein de Canada Ouest il y a quelques années et regarde où ils en sont aujourd’hui ! 

9. Qu’aimez-vous faire lorsque vous n’êtes pas au travail ?

Lorsque je ne suis pas au travail (ou en train de songer à des projets pour le Wolfpack), j’aime voyager. J’aime le cinéma (j’ai une vaste collection de films) et je fais beaucoup de radiodiffusion à la pige (j’anime une émission sportive amateur au poste AM local et je fais un grand nombre de publicités en régions éloignées).

Je soulignerai sous peu ma 40e année comme téléradiodiffuseur et j’ai travaillé dans des marchés majeurs, moyens et petits, y compris Vancouver, Calgary, et Edmonton, tout en faisant des descriptions de match ou en agissant à titre de commentateur à la radio et à la télévision au sein de la ligue de hockey de l’Ouest. 

J’aime aussi beaucoup faire du bénévolat et j’ai récemment été nommé président des médias pour les Jeux du Canada des 55 ans et + 2020 qui auront lieu à Kamloops.