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Carleton accueille le Défi Est-Ouest dans la capitale nationale pour la toute première fois
U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre série d’entrevues « Faites connaissance avec… »
- Nom : Jennifer Dunn
- École : Université MacEwan
- Sport : Membre du personnel des sports
- Position : Physiothérapeute en chef
- Ancienneté : 7 ans
- Ecole / Poste précédent : physiothérapeute à temps partiel à Humber College, Peel Avengers Lacrosse
- Ville natale : Brampton, Ont.
1. Comment avez-vous obtenu votre poste actuel et qu'est-ce que vous appréciez le plus à propos de votre travail ?
Mon rêve était de travailler comme physiothérapeute dans un milieu collégial ou universitaire, alors je me trouve très comblée d’avoir obtenu ce poste aussi tôt dans ma carrière. J’adore pouvoir appliquer mes compétences, aussi bien dans le cadre d’une clinique que sur le terrain. J’aime beaucoup travailler avec ce groupe d’âge et à l’intérieur d’une panoplie de sports.
2. Qui a eu le plus d’influence sur votre carrière ?
J’ai été influencée par plusieurs de mes professeurs du programme de physiothérapie à l’Université York. Mike Boni est parmi les meilleurs thérapeutes manuels et il fait partie de
mes mentors depuis le début de mes études. Dr Frances Flint a également influencé ma carrière en m’encourageant à poursuivre ma maîtrise.
3. Quel est votre plus grand moment sportif ou votre plus belle réussite ?
Mon premier degré ceinture noire et, plus tard, ma sélection comme physiothérapeute auprès de l’équipe nationale canadienne de Taekwondo lors des Championnats mondiaux séniors 2017 à Muju, Corée.
4. Comment définiriez-vous un étudiant-athlète de l’Université MacEwan ?
Mise à part l’élite étudiante et sportive évidente, je décrirais l’ensemble des étudiants-athlètes comme étant très motivés, inspirants, et vraiment agréables à côtoyer.
5. À quoi ressemble le succès pour le programme sportif de l’université MacEwan ?
Une approche d’équipe vis-à-vis de la haute performance. Une croissance continue et une meilleure compétitivité.
6. Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans le monde sportif d’aujourd’hui ?
Le nombre disproportionné de physiothérapeutes féminines qu’on retrouve parmi le personnel médical des sports professionnels persiste.
7. A quelle place souhaitez-vous voir le sport universitaire canadien dans 3 à 5 ans ?
J’aimerais qu’il se fasse davantage de recherche sur les blessures et lésions au sein de U SPORTS.
8. Si vous pouviez vous asseoir pour un repas avec une personne de l’industrie sportive (athlète, entraîneur ou gérant), qui choisiriez-vous ? Pourquoi ? De quoi discuteriez-vous ?
Nikki Huffman me vient à l’esprit ; elle est l’une des premières femmes physiothérapeutes en chef dans les ligues majeures. J’aimerais en connaître davantage sur sa formation et ses expériences au baseball professionnel, plus spécifiquement auprès des Blue Jays que j’ai suivis toute ma jeunesse à Toronto.
9. Que diriez-vous à un amateur de sports qui n’aurait jamais vu un match/tournoi/compétition U SPORTS ?
C’est rapide et excitant. Je suis toujours renversée par le niveau de compétition et d’athlétisme qui distingue U SPORTS.
10. Qu’aimez-vous faire en dehors du travail ?
Yoga, vélo de montagne, randonnées pédestres avec mon conjoint et notre chien.
