Basketball Masculin Nouvelles

U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre série d’entrevues « Faites connaissance avec… ».

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  • Nom : Bobby Mitchell
  • École : UCB à Okanagan (Heat)
  • Sport : Basketball féminin
  • Poste : Entraîneur-chef
  • Ancienneté : 1re année
  • École/poste précédent : Entraîneur adjoint principal, basketball féminin, UCB Okanagan
  • Ville natale : Saint Jean, N.B.

1. Comment en êtes-vous venu à entraîner pour la première fois ? Quel a été votre parcours jusqu’à ce poste d’entraîneur-chef à UCB Okanagan ?

Je me suis d’abord impliqué auprès des garçons de l’équipe senior Fraser Heights 2001, mais la saison a été de courte durée, en raison d’une grève. En 2003, je suis déménagé à Vernon et un collègue m’a demandé si je pouvais donner un coup de main à l’école secondaire de Vernon avec l’équipe séniore des filles. J’ai dit non pendant deux mois, environ, mais il revenait toujours à la charge et j’ai fini par accepter.  

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Crédit: GreyStoke Photography

J’ai passé les neuf saisons suivantes à l’école secondaire de Vernon et, pendant cette période, je me suis mis à entraîner dans le cadre d’un programme de club de basketball de la région de Vernon puis, après cinq années à diriger ce programme, je me suis joint au programme junior du Heat et dirigé celui des M17. En 2013, Heather Semeniuk m’a invité à faire partie du personnel d’entraîneurs du programme féminin, comme adjoint. Je ne serais pas ici si elle ne m’avait pas donné cette chance il y a maintenant six ans.

2. Qui sont les gens qui vous ont le plus influencé en tant qu’entraîneur ?

Bill Conway, mon professeur et premier entraîneur au basketball ; mes trois entraîneurs au secondaire, Glen Spurrell, Fran McHugh, et Tom King. L’un de ceux qui m’ont le plus influencé a été David Munro qui m’a vraiment appris ce qu’il fallait pour devenir professionnel à ce niveau.

3. Comment décririez-vous votre style de coaching ?

Passionné, intense, et un peu du genre qui favorise plutôt les joueurs.

4. Quel est l’entraîneur que vous admirez le plus, et pourquoi ?

Vince Lombardi, à cause de son travail acharné et du fait qu’il savait toujours comment tirer le meilleur de ses joueurs.

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Crédit: GreyStoke Photography

En plus, il a entraîné une équipe senior de basketball masculin (alors qu’il ne connaissait rien au basketball) pendant huit saisons et terminé avec une fiche de 105-57 – il était tout simplement doué pour le coaching.

5. Quelle est la chose la moins conventionnelle que vous ayez faite en tant qu’entraîneur ?

Je dirais que c’est lorsque j’ai introduit le jeu du « chien qui aboie sur la ligne de fond » dans un match au secondaire.

6. Quel est votre plus grand moment, votre plus belle réussite en tant qu’entraîneur ?

D’être devenu un entraîneur-chef à ce niveau.

7. Quel est le meilleur conseil que vous puissiez donner à un athlète ou à ses parents ?

Le travail acharné apporte les résultats, concentre-toi sur les choses que tu peux contrôler          et ne cesse jamais de t’amuser.

8. Comment avez-vous changé en tant qu’entraîneur au fil du temps ? Lesquels de vos principes/valeurs n’ont pas changé ?

Je crois que ce qui a le plus changé est ma compréhension de l’importance de bâtir une relation avec chaque joueur.

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Crédit: GreyStoke Photography

Je ne comprenais pas vraiment la valeur de cet aspect il y a dix ans. Mon éthique de travail et mon sens de responsabilité sont demeurés intacts et le resteront tout au long de ma carrière d’entraîneur.

9. Qu’aimez-vous faire lorsque vous n’êtes pas en train de coacher ? 

Passer du temps en famille, regarder un spectacle/football, et écouter de la musique.

10. Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous est arrivée en tant qu’entraîneur ? 

Celle qui me saute à l’esprit est d’avoir pris un temps mort à la fin du troisième quart pour préparer mon équipe pour le dernier tir du match. Je passe tout le temps mort en pensant qu’il s’agit du quatrième quart pour finalement me faire dire, à la fin, par la    mère/gérante de l’équipe que ce n’est que la fin du troisième.