Cross-Country Masculin Nouvelles

U SPORTS s’entretient avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre série d’entrevues « Faites connaissance avec… »  -Stefan_Daniel.png (69 KB)

  • Nom: Stefan Daniel
  • École: Université de Calgary
  • Sport: Cross-country
  • Année d’admissibilité: 3
  • Programme: Affaires
  • Ville natale: Calgary

1. Qu'est-ce qui vous a attiré à l’Université de Calgary?

L'école de commerce et le programme de course de l’Université de Calgary sont excellents. J'ai eu l'occasion de m'entraîner avec les Dinos au cours de ma dernière année au secondaire et ils m'ont très bien accueilli. Je savais que j'adorerais mon expérience de course avec l'équipe et cela a été un facteur important dans ma décision de rester.

2. Quel est votre meilleur souvenir et votre plus belle réussite en tant qu'étudiant-athlète U SPORTS?

Mon souvenir préféré en tant qu’étudiant-athlète U SPORTS a été de remporter la médaille d’argent par équipe aux championnats de cross country la saison dernière. Nous avons toujours su que nous avions le potentiel de remporter des médailles, mais personne d'autre que nous nous voyait monter sur le podium. Tout le monde a élevé son niveau et livré la marchandise. L'excitation et l'émotion de découvrir que nous avions obtenu la médaille d’argent ont été un sentiment incroyable, et je me souviendrai de cette journée pour toujours.

3. Où pensez-vous que votre parcours universitaire vous mènera?

Je veux rester impliqué dans le sport d’une façon ou d’une autre. Que ce soit en marketing sportif, en gestion du sport ou tout autre rôle. Le sport est très présent dans ma vie et j'espère pouvoir continuer à y participer après l'université.

4. Qui a exercé la plus grande influence sur votre carrière sportive?

Mon frère Christian a exercé la plus grande influence sur ma carrière sportive. Il est atteint de paralysie cérébrale et j'ai grandi en faisant de la natation avec lui. Même s'il était difficile pour lui de nager, il avait toujours un sourire sur son visage et faisait de son mieux à chaque entraînement. Son influence était énorme quand j’étais jeune et c'est à cause de lui que je fais encore du sport. 

5. Avec qui du monde du sport, passé ou présent, aimeriez-vous souper?

En regardant Michael Phelps remporter huit médailles d’or aux Jeux olympiques de Pékin en 2008, j’ai réalise que mon objectif était de monter sur la scène mondiale. J’aimerais souper avec lui pour en apprendre davantage sur son approche vis à vis l'entraînement quotidien et comment il fait face à une pression aussi extrême.

6. Quel est votre rituel d’avant match? Avez-vous des superstitions / idiosyncrasies autour de votre préparation pour une compétition?

J'écoute généralement de la musique tout en rassemblant mes affaires avant de me rendre au site de la course. Juste avant la course, je vais secouer mes jambes tout en fixant le sol. Cela m'aide à me concentrer et à calmer mes nerfs. 

7. Quelle musique écoutez-vous pour vous motiver avant une pratique ou un match?

No Love de Eminem et Lil Wayne

8. Quelle est la personnalité que vous suivez le plus en ce moment sur les médias sociaux?

Barstool Sports sur Instagram

9. Si vous pouviez essayer un autre sport, quel serait-il? Pourquoi?

Je voudrais essayer le bobsleigh. Bien sûr, je ne voudrais pas conduire le traîneau, mais descendre la piste aussi vite serait une sensation incroyable.

10. Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous est arrivée en tant qu'athlète?

Quand j'étais petit, j'ai participé à l'un de mes premiers triathlons à Kelowna. C'était les championnats canadiens Kids-of-Steel. J’étais en position de gagner et j'avais un bon écart avec la deuxième place dans la partie de course à pied. Malheureusement, j’étais un peu surexcité et j'ai franchi la ligne d’arrivée après un tour, alors que le parcours était de deux tours. Je me suis retourné un peu plus tard et j'ai réalisé ce qui s'était passé. Je suis allé voir l’officielle et lui ai dit de me disqualifier. J’étais tellement triste. On aurait dit que compter jusqu’à deux était trop à gérer à cet âge.