Hockey Masculin Nouvelles

U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre série d’entrevues « Faites connaissance avec… »

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  • Nom: Kameron Kielly
  • École: UIPE
  • Sport: Hockey masculin
  • Position: Ailier droit
  • Année d'éligibilité: 3e
  • Programme: Baccalauréat en Administration des affaires
  • Ville natale: Charlottetown, Î.-P.-É

1. Qu'est-ce qui vous a fait venir à l’UIPE?

L’UIPE est l’université de ma ville natale, et je l’ai fréquentée lorsque je jouais pour les Islanders de Charlottetown au sein de la LHJMQ; donc je connaissais l'école, et je m’y sentais à l'aise. On m'a aussi donné l'opportunité de contribuer tout de suite à l’équipe, ça aussi, ça m'a attiré. J'ai adoré chaque minute de jeu à l’UIPE depuis que je suis arrivé. Nous sommes une équipe où les gens sont très proches les uns des autres; on s’amuse beaucoup et on a un esprit très compétitif.

2. Quel est votre meilleur souvenir et votre plus belle réussite en tant qu'étudiant-athlète U SPORTS?

Les meilleurs souvenirs que j'ai en tant qu'athlète à l'UIPE ont eu lieu sur la glace, chose avec laquelle je pense que beaucoup d'athlètes qui évoluent dans des sports d'équipe pourront être d’accord. Les choses que nous faisons ensemble en dehors des matchs, telles que nos trajets en bus, notre tournoi de golf en équipe, ou nos soirées film / dîners avec l’équipe, sont des souvenirs qui restent. Pouvoir connecter à un autre niveau avec 23 autres joueurs est quelque chose que je chérirai toujours.

Ma plus belle réussite sportive en tant qu’athlète U SPORTS a été d’avoir été nommé Athlète masculin de l’année de l’UIPE pour la saison 2018-1919. Ce fut un grand honneur, car il y a beaucoup d'athlètes de haut niveau à l'UIPE. Bien qu’il s’agisse d’une récompense individuelle très spéciale, je n’aurais pas pu la recevoir sans le travail et l’aide de mes formidables coéquipiers et entraîneurs. L’UIPE aura toujours une place spéciale dans mon cœur.

3. Où pensez-vous que votre parcours universitaire vous mènera?

Depuis mon arrivée à l’UIPE, mon objectif a toujours été de devenir un joueur de hockey professionnel. L'université m'a donné l’opportunité de mettre en mon talent en avant, tout en maintenant un niveau d'éducation élevé. Certains pourront dire que j'ai le meilleur des deux mondes : je travaille à l’obtention de mon diplôme tout en pratiquant le sport que j'aime. Après ma carrière de hockey, le travail que j'ai consacré à mes études sera quelque chose dont je pourrais toujours être fier.

4. Qui a eu la plus grande influence sur votre carrière sportive?

Mes parents ont eu la plus grande influence sur ma carrière de hockey. C’est difficile d’exprimer juste avec des mots à quel point ils ont investi de temps et d’efforts pour ma carrière. Je leur serai éternellement reconnaissant pour les sacrifices qu’ils ont réalisés alors qu’ils étaient encore très jeunes; je ne pourrai jamais assez les remercier.

5. Avec qui du monde du sport, passé ou présent, aimeriez-vous dîner ou souper? Pourquoi?

J'aimerais bien dîner avec Tiger Woods. En dehors du monde du hockey, Tiger est l'un de mes athlètes préférés. J’aimerais tout simplement écouter les anecdotes qu’il a du accumuler au cours des années, et aussi lui demander conseil sur comment remporter des victoires et vaincre l’adversité.

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6. Quel est votre rituel d’avant match? Avez-vous des superstitions / idiosyncrasies autour de votre préparation pour une compétition?

Le matin du jour du match, je suis plutôt détendu, et je me rends à la patinoire assez tôt pour patiner un peu. Après cela, je rentre à la maison et je prends mon repas d'avant-match, suivi d'une sieste. Quand on joue à domicile, je n’aime pas changer mes habitudes alimentaires. Mon repas se compose généralement de saumon, avec des patates douces et du riz. Après un échauffement dynamique hors de la glace, j'aime visualiser les choses. Je me dirige habituellement vers un endroit de la patinoire où je peux avoir quelques minutes à moi pour me préparer. Quand je m'habille, je m'habille toujours de la droite vers la gauche. Et puis, il y a encore d’autres choses que je fais quand je me rends à la patinoire, mais je dois les garder secrètes.

7. Quelle musique écoutez-vous pour vous motiver avant une pratique ou un match?

Honnêtement, je suis assez mauvais pour tout ce qui concerne l’ajout de musique sur mon téléphone, donc je compte plus sur mes coéquipiers et sur ma petite amie pour m’aider à constituer des sélections de chansons. Ils font du bon travail et sélectionnent la dose parfaite de rap et de hip-hop.

8. Quel est le compte que vous suivez le plus en ce moment sur les médias sociaux?

Spittin’ Chiclets.

9. Si vous pouviez essayer un autre sport, quel serait-il? Pourquoi?

Si je pouvais essayer un autre sport et avoir du succès dans cet autre sport, ce serait le golf. Je pense qu'être un golfeur professionnel est quelque chose de formidable, et que je pourrais l’apprécier.

10. Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous soit arrivée en tant qu'athlète?

L'une des choses les plus embarrassantes qui me soit arrivée en tant qu'athlète s’est déroulée en sortant de la glace. À l’époque où j'ai été échangé pour la première fois à Charlottetown, je me suis assis pour faire une entrevue avec George Matthews (ancien commentateur sportif des matchs des Blue Jackets de Columbus, qui est à présent avec les Islanders de Charlottetown), entrevue qui, selon moi, s'était très bien passée.

J'étais encore jeune ; j’avais 16 ans, et j'avais déjà fait quelques entrevues, mais pas une tonne. Lorsque l'entrevue a été diffusée, j'ai été très gêné par le nombre de fois où je disais «tu vois», cela a du être un record... J’ai dit «tu vois» à chaque phrase, sans même réaliser ce que je faisais. Et cela a été utilisé à mes dépens lors de dîners de famille; durant les semaines qui ont suivi, tout le monde a bien ri de moi. Cela a été assez semblable à ce qui s’est passé durant l’entrevue de Joel Edmunston lors des séries éliminatoires de la Coupe Stanley 2019, à part que mon entrevue avait duré 10 minutes au lieu de juste 30 secondes. Allez regarder la vidéo, elle est bien plus drôle que ce que je décris.