U SPORTS Nouvelles

Tout au long de la saison 2017-2018, U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre nouvelle série d’entrevues « Faites connaissance avec… 

Ken_Schildroth_(headshot).png (75 KB)Nom : Kenneth Schildroth

École : Université MacEwan

Poste : Directeur des sports

École / Poste précédent : Gérant - Sport interuniversitaire, Université York

Ville natale : Sault Ste-Marie, ON

1. Comment avez-vous obtenu votre poste actuel et qu'est-ce que vous appréciez le plus à propos de votre travail ?

J’ai été entraîneur de l’équipe de basketball des hommes à l’Université McGill pendant 15 ans et j’ai également agi comme coordinateur des sports inter collégiaux — une bonne base pour une carrière en éducation sportive. Cette expérience m’a ouvert des portes, d’abord à York puis ici à MacEwan. C’est tellement inspirant de travailler avec des étudiants-athlètes, entraîneurs et membres du personnel de soutien aussi talentueux et qui ont une telle passion pour le sport.

2. Qui a eu le plus d’influence sur votre carrière ?

Plusieurs personnes m’ont influencé au cours de ma carrière. Au point de vue sportif, mon mentor a toujours été Ken Shields, depuis que je l’ai rencontré la première fois à l’Université Laurentian ; j’ai gardé contact avec lui à l’Université de Victoria. Du côté administratif, je dois beaucoup à Robert Dubeau (McGill), Patricia Murray et Jennifer Myers (York), Catherine Heslep, John Corlett et David Atkinson (MacEwan).

3. Quel est votre plus grand moment sportif ou votre plus belle réussite ?

La chance de concourir comme joueur dans un championnat national de basketball (Laurentian en 1977-78) fut pas mal spéciale. Ensuite de retourner au championnat national comme entraîneur (McGill en 1984-85 et 1985-86, et comme adjoint avec Laurentian et Saskatchewan) fut fantastique. J’ai aussi eu la chance, comme leader institutionnel, de voir des équipes se rendre au championnat national (divers sports à McGill et York), ce qui est toujours gratifiant.

4. Comment définiriez-vous un étudiant-athlète à l’université MacEwan ?

Étudiant extrêmement talentueux, multidimensionnel qui est engagé au niveau des études, des sports, et de la communauté.

5. À quoi ressemble le succès pour le programme sportif de l’université MacEwan ?

Contribuer à ce que des étudiants-athlètes accrédités se voient décerner un diplôme après avoir concouru au sein de Canada Ouest et participé à des championnats de U SPORTS. Nous sommes fiers d’aider à former des étudiants-athlètes complets et équilibrés qui sont engagés dans leurs communautés.

6. Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans le monde sportif d’aujourd’hui ?

Le plus grand défi est de suivre le rythme de la technologie, des coûts financiers, et des attentes des étudiants-athlètes.  

7. À quelle place souhaitez-vous voir le sport universitaire canadien dans 3 à 5 ans ?

On va devoir vivre un tournant culturel, mais j’aimerais voir le sport universitaire plus largement acclamé par la société canadienne. Nous le faisons au hockey. Nous pouvons le faire au sport universitaire. Il va simplement falloir un changement culturel pour que notre système ressemble davantage au système américain. Le sport universitaire est valorisé dans la communauté parce que les étudiants-athlètes sont vraiment des personnes talentueuses et multidimensionnelles.  

8. Si vous pouviez vous asseoir pour dîner avec une personne du monde sportif (athlète, entraîneur ou gestionnaire), qui serait-ce ? Pourquoi ? De quoi parleriez-vous ?

Très tôt dans ma carrière, c’était Ken Shields et ce serait Ken Shields aujourd’hui. Je le questionnerais au sujet de l’excellence et lui demanderais comment construire des programmes efficaces.

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9. Que diriez-vous à un fan de sport qui n’a jamais regardé ou assisté à un match ou une compétition U SPORTS ?

C’est le meilleur billet en ville.

10. Qu’aimez-vous faire lorsque vous n’êtes pas au travail ?

Je cours. Je passe du temps avec mon fils, ma conjointe, et mon chien. J’aime le grand air.