U SPORTS Nouvelles

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danika smith
Gee-Gees d’Ottawa
Agente de conformité et des services aux étudiants-athlètes
Munster Hamlet, Ont. 

1. Comment avez-vous obtenu votre poste actuel et qu'est-ce que vous appréciez le plus à propos de votre travail? 

Mary MacDonald, qui est présentement Directrice administrative de Tir à l’arc Canada, travaillait à l’Université d’Ottawa an tant qu’Agente des services aux étudiants-athlètes avec l’équipe de hockey féminine. Je lui ai dit de me le faire savoir si jamais elle changeait de poste parce que j’aimerais faire ce qu’elle faisait. Elle a été embauchée pour gérer le Programme international de U SPORTS et elle a transmis mon message à son patron à l’époque. J’ai fini par voyager à la Russie pour les Universiades avec Mary quelques années plus tard. Elle est toujours un modèle pour moi!

2. Qui a eu le plus d'influence sur votre carrière?

Le sport faisait toujours partie de mon éducation. Ma grand-mère Sullivan était entraîneuse de hockey aux années 1940 et mon grand-père Smith était chercheur de talent pour les Chicago Blackhawks. J’ai reçu de l’aide de beaucoup de personnes au long de mon parcours. J’ai un groupe de femmes fantastique dans ma vie qui est inspirante et m’encourage à continuer d’apprendre, de me développer et d’être la meilleure version de moi-même.

3. Quel est votre plus grand moment sportif ou votre plus belle réussite?

Avoir été reconnue par le prix Marion Hillard lors de ma dernière année d’école secondaire en 2009. C’était un moment incroyable. Lorsque Taryn Barry de l’Alberta fut accordée le prix en 2007, je me souviens distinctement d’avoir écouté son discours en pensant qu’elle était quelqu’un d’extraordinaire. Shauna Denis de McGill l’a gagné en 2008 et tout le monde sait qu’elle est une personne formidable. Quand je l’ai gagné, j’étais assez enthousiasmée du fait que mon nom serait sur une liste quelque part à côté des noms de ces femmes. 

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4. Comment définiriez-vous un étudiant-athlète à l’Université d’Ottawa?

Un simple mortel qui se porte volontaire pour faire des tâches surhumaines.

5. À quoi ressemble le succès pour le programme sportif de l’Université d’Ottawa?

Quand tout le monde assiste à un événement pour les anciens revivant leurs saisons de championnats et se vantant des façons dont ils profitent de leurs diplômes.

6. Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans le monde sportif d'aujourd'hui?

Nos programmes deviennent de plus en plus élite chaque année. C’est important que nous intégrions la réussite scolaire et la santé mentale dans ces programmes ambitieux et évolutifs.

7. À quelle place souhaitez-vous voir le sport universitaire canadien dans 3 à 5 ans?

Je souhaiterais voir chaque programme universitaire se lier à leur organisme sportif national. Je crois que les universités devraient être dans toutes les voies d’excellence du sport de haut niveau. Nous devrons tous être en train de travailler ensemble et de partager les ressources afin d’améliorer le sport au Canada.

8. Si vous pouviez vous asseoir pour dîner avec une personne du monde sportif (athlète, entraîneur ou gestionnaire), qui serait-ce? Pourquoi? De quoi parleriez-vous?

Beckie Scott. Elle a réalisé beaucoup dans le domaine du sport. Elle était une athlète incroyable. Elle était engagée au Comité international olympique, l’Agence mondiale antidopage et faisait partie du conseil d’administration aux Jeux olympiques de 2012. Elle travaillait aussi avec Terry Orlick un professeur de l’Université d’Ottawa qui m’a aidé avec ma maîtrise ès activité physique – concentration en intervention et consultation.

9. Que diriez-vous à un fan de sport qui n'a jamais regardé ou assisté à un match ou une compétition U SPORTS?

Débrouillez-vous!

10. Qu’aimez-vous faire lorsque vous n’êtes pas au travail?

Patiner sur le canal, faire de longues promenades en vélo le long du sentier de la rivière Gatineau, jouer de la guitare et admirer la beauté de la région d’Ottawa.