U SPORTS Nouvelles

Tout au long de la saison 2017-2018, U SPORTS s’entretiendra avec un athlète, un entraîneur, et un membre du personnel clés de chacun de ses programmes sportifs dans le cadre de notre nouvelle série d’entrevues « Faites connaissance avec… » 

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  • Nom : Jim McLarty
  • École : Université Ryerson
  • Poste : Coordonnateur — communications et nouveaux médias
  • Ancienneté : 11 ans
  • École/Poste précédent : Agent de l’information – sports et récréation, Université York
  • Ville natale : Tisdale, Sask.

1. Comment avez-vous obtenu votre poste actuel et qu’est-ce que vous appréciez le plus à propos de votre travail ?

J’ai obtenu ce poste grâce à mon expérience préalable en communications sportives. Après avoir été diplômé de l’Université de Regina, j’ai travaillé comme directeur du marketing et des communications pour l’Association de hockey de la Saskatchewan avant d’accepter le poste de directeur des communications pour le club de hockey des Pats de Regina. Je suis déménagé à Toronto pour y rejoindre ma conjointe Katharine et j’ai commencé à travailler à l’Université York comme agent de l’information sportive et de la récréation. Un poste s’est ouvert à Ryerson et on m’a approché pour me l’offrir. 

J’aime beaucoup travailler avec cette équipe exceptionnelle composée de mes confrères de travail, d’étudiants, d’entraîneurs, et d’étudiants-athlètes qui font constamment preuve de leadership et d’excellence à Ryerson et dans la communauté.

2. Qui a eu le plus d’influence sur votre carrière ? 

J’ai eu la chance d’avoir de nombreux collègues, mentors, entraîneurs et professeurs qui m’ont guidé et stimulé au cours des années. Toutefois, ce sont mes parents qui m’ont le plus influencé. Durant ma croissance, j’ai eu énormément de soutien de la part de ma famille et je suis reconnaissant pour tout ce qu’ils ont fait. Mes parents sont les personnes les plus travaillantes que je connaisse et leur philosophie m’a été inculquée en très bas âge. Je sais que mon éthique de travail a largement contribué à mon succès à Ryerson et, lorsque j’étais plus jeune, j’ai accédé à des équipes auxquelles on ne se serait pas attendu simplement à cause de mon travail acharné. Pour ça, je remercie infiniment mes parents.

3. Quel est votre plus grand moment sportif ou votre plus belle réussite?

Comme athlète : d’avoir fait l’équipe de hockey à l’Université de Regina. L’équipe était classée parmi les cinq premières au pays. L’alignement incluait d’anciens joueurs professionnels et regorgeait d’excellents joueurs juniors majeurs. Je n’avais jamais même participé à un camp d’essai junior majeur et c’était toute une marche à gravir pour moi qui venais de la ligue de hockey junior de la Saskatchewan. Mais l’entraîneur-chef, Bill Liskowich, croyait en moi et m’a recruté agressivement. J’y ai joué pendant cinq saisons, j’ai représenté le Canada à l’Universiade d’hiver, et reçu des offres pour jouer comme professionnel en Europe et aux États-Unis.   

Comme administrateur : d’avoir participé à la transformation des sports de Ryerson. Tellement de choses se sont succédé au cours des 10 dernières années, depuis un referendum sur les cotisations des athlètes, à l’acquisition du Garden des Maple Leafs, à la création d’un programme d’études en médias sportifs, à l’accueil de deux championnats nationaux, au premier championnat SUO à vie de l’établissement jusqu’à, plus récemment, le premier championnat national à vie au volleyball féminin.

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4. Comment définiriez-vous un étudiant-athlète à l’université Ryerson ?

Les étudiants-athlètes de Ryerson visent l’excellence dans les salles de cours, aussi bien que dans leur sport, tout en étant des piliers de la communauté.

5. À quoi ressemble le succès pour le programme sportif de l’université Ryerson ?  

Notre service a réussi lorsqu’il honore son mandat — « Les sports de Ryerson prônent l’esprit d’appartenance, de fierté, et d’excellence qui enrichit l’expérience académique et développe l’étudiant dans son ensemble. »

6. Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans le monde sportif d’aujourd’hui ?

Dans mon rôle actuel, le plus grand défi est de suivre le rythme rapide des changements et avancées en technologie. La cible de ce poste a tellement changé au cours des 10 dernières années ! Les médias sociaux sont 24/7 et il te faut constamment pondre du contenu. Il n’y a pas de pause, il faut toujours que tu sois prêt. L’autre énorme changement est la transmission en direct des matchs. Il y a cinq ans, nous n’avions qu’à brancher une caméra sur un ordinateur. Aujourd’hui, les partisans et spectateurs veulent des diffusions télévisuelles professionnelles avec moult caméras et reprise instantanée.

7. A quelle place souhaitez-vous voir le sport universitaire canadien dans 3 à 5 ans ?

J’aime la direction que prend U SPORTS. La plupart des établissements impliquent beaucoup plus leurs étudiants, diplômés, et communautés qu’autrefois. Nous voyons de plus en plus d’événements et d’activités comme la Classique de la capitale en basketball et la Classique Crowchild en hockey. Chaque année, des événements semblables sont mis sur pied à travers le pays. Si on peut en arriver au point où chaque établissement U SPORTS présente un ou deux de ces événements par année, je crois que nous attirerons et retiendrons l’attention des partisans, des médias, et des commanditaires.  

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8. Si vous pouviez vous asseoir pour dîner avec une personne du monde sportif (athlète, entraîneur ou gestionnaire), qui serait-ce ? Pourquoi ? De quoi parleriez-vous ?

Je vais dire Pinball Clemons. J’adore sa passion et sa fugue. Nous parlerions du défi de surmonter les obstacles et de comment motiver les gens autour de nous. Je lui demanderais également de partager avec moi un de ses légendaires discours de motivation. Qui sait ce que je réussirais à accomplir ensuite !

9. Que diriez-vous à un fan de sport qui n’a jamais regardé ou assisté à un match ou une compétition U SPORTS ?

Tu seras époustouflé, ébloui, par la qualité, le calibre de compétition et tu y reviendras encore et encore. J’ai invité des douzaines de personnes à des matchs à Ryerson et elles sont toutes devenues des fanatiques. Personne — pas une seule personne — n’a déjà été déçu.

10. Qu’aimez-vous faire lorsque vous n’êtes pas au travail ?

J’adore passer du temps avec ma conjointe Katharine et notre chien, Bear.