U SPORTS Nouvelles

U SPORTS s’entretiendra avec chacun de ses stagiaires de l’été dans le cadre de notre nouvelle série d’entrevues « Faites connaissance avec… ».

  • Nom : Matt Vocino
  • École : Université Ryerson
  • Programme : Journalisme sportif
  • Poste de stage : Communications
  • Ville natale : Pickering, Ontario

1. Qu’est-ce qui vous a attiré à Ryerson et à votre programme?

D’aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours été passionné de sport; je pouvais en parler pendant toute une journée. Cela dit, pendant mes études secondaires, j’ai commencé à vraiment aimer l’écriture, alors j’ai décidé que je voulais mener une carrière dans le journalisme. Heureusement pour moi, Ryerson a créé le programme des Arts de la radio et de la télévision (journalisme sportif) lorsque j’étais en 11e année. Lorsque j’ai entendu parler du programme à ma dernière année au secondaire, j’ai compris qu’il m’offrait une occasion parfaite de mettre à profit ma passion pour le journalisme sportif et d’en apprendre sur la diffusion, le marketing et d’autres aspects des médias.

Le programme de journalisme sportif à Ryerson étant le premier de la sorte en Amérique du Nord, c’est son caractère unique qui m’a incité à devenir un Ram. Toutefois, en tant qu’étudiant ayant un handicap physique et qui utilise un fauteuil roulant pour se déplacer, je devais m’assurer que le campus était accessible. Heureusement pour moi, après avoir visité Ryerson et comparé l’accessibilité de ses installations à celles de plusieurs autres universités, j’ai été conquis.

Il y a trois ans, j’ai pris la décision d’étudier à l’Université Ryerson au centre-ville de Toronto, et c’est une des meilleures décisions que j’ai prises. Pendant mes études, j’ai acquis les compétences nécessaires pour travailler dans l’industrie du journalisme sportif sur le campus et dans la vie réelle. Je ne peux que dire du bien de Ryerson et du programme de journalisme sportif.

2. Pourquoi étiez-vous intéressé à faire un stage à U SPORTS?

Au cours des trois dernières années à Ryerson, j’ai été témoin du succès de plusieurs équipes des Rams et j’ai écrit des articles pour le journal étudiant, The Eyeopener, j’ai développé un intérêt pour U SPORTS. J’ai voulu donc me joindre au bureau national pour aider à promouvoir les athlètes universitaires canadiens, car je pense qu’ils méritent qu’on raconte leur histoire.

De plus, je souhaitais faire un stage à U SPORTS pour mieux comprendre l’aspect communications et marketing du sport, notamment comment la division des communications met en place, organise et exécute un plan de communications.

3. Quels sont vos principaux apprentissages de votre expérience avec U SPORTS?

Depuis que j’ai joint U SPORTS pour un stage d’été, j’ai peaufiné mes habiletés journalistiques et rédactionnelles en rédigeant des articles et des communiqués de presse. Je comprends mieux maintenant la planification et l’exécution des stratégies de communication et j’ai acquis de l’expérience dans ce domaine. En général, U SPORTS est un foyer d’apprentissage, car tous les membres de l’équipe veulent nous voir réussir et sont toujours disponibles pour nous guider afin de nous aider à améliorer notre travail.

4. Des moments mémorables au cours de votre stage?

À ce jour, mon moment le plus mémorable a été d’interviewer le légendaire entraîneur de natation des Varsity Blues de l’Université de Toronto, Byron MacDonald. J’ai vraiment apprécié notre conversation sur ses 40 ans de carrière en prélude à un article que j’ai écrit sur lui. 

5. Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite travailler chez U SPORTS?

Le meilleur conseil que je pourrais donner à une personne qui souhaite se joindre à U SPORTS est d’être flexible. En tant que stagiaire, on pourrait penser qu’on n’a qu’une tâche à accomplir, mais ce n’est pas le cas. Il est important d’être prêt à aider si nécessaire, et en accomplissant plusieurs tâches, on apprend beaucoup. De plus, pour un stage en communications, il est important d’être un très bon communicateur et d’avoir le sens de l’organisation.

6. Pourquoi avez-vous choisi de faire carrière dans le sport et quel est votre métier de rêve?

Ayant toujours été passionné de sport et de narration, travailler dans le sport était l’évidence même pour moi.

Pour ce qui est de mon travail de rêve, j’aimerais travailler pour un journal, un organisme de sport ou un réseau de sports, rédiger des articles ou des analyses. Le sport a le pouvoir d’unir les gens et de faire naître les conversations, alors je serais heureux de pouvoir y contribuer.

7. Si vous pouviez avoir une discussion avec une personne dans l’industrie du sport (athlète, coach, manager ou professionnel), qui serait-ce? Pourquoi? De quoi parleriez-vous?

Je choisirais bien des gens, mais si je ne devais retenir qu’une seule personne, ce serait Ron MacLean. J’ai toujours été fasciné par son aisance devant la caméra et sa capacité à établir le contact avec le public ou les personnes qu’il interviewe. Je lui parlerais de sa carrière dans la télédiffusion, ainsi que de sa capacité à paraître si naturel à la télévision. Je lui demanderais de me raconter ses meilleurs souvenirs et ses histoires de hockey. Dans mon esprit, il ne fait aucun doute qu’il est un des meilleurs narrateurs sportifs.

8. Après avoir travaillé avec U SPORTS et maintenant que vous comprenez mieux ce que nous faisons, comment décririez-vous l’organisation et la culture au bureau national?

Je décrirais U SPORTS comme un milieu caractérisé par sa motivation, son dévouement, sa jeunesse et son accueil. Au cours des trois derniers mois au bureau national, je n’ai eu que des interactions positives avec mes collègues stagiaires, et je peux certainement dire que les membres du personnel à temps plein nous soutiennent beaucoup. Il ne fait aucun doute que U SPORTS ira de succès en succès et rehaussera la notoriété du sport universitaire au Canada.

9. Qu’aimez-vous faire de votre temps libre?

Lorsque je ne suis pas à mon stage ou à l’école, j’aime jouer au hockey en fauteuil roulant, passer du temps avec mes amis et ma famille, essayer de nouveaux mets (je suis un gastronome) et suivre autant de matchs possibles ou y assister en personne. Le sport importe peu; je regarde n’importe quel match ou j’y assiste en personne.

10. Quel est votre meilleur souvenir sportif?

En tant qu’athlète, les cinq titres que j’ai remportés aux championnats de la Toronto Power Wheelchair Hockey League (TPWHL) au cours des 10 dernières années constituent mes moments les plus notables. Il n’y a rien comme travailler à la réalisation d’un objectif collectif avec ses coéquipiers et ses amis et de voir tout le travail accompli porter des fruits à la fin de l’année.

En tant que partisan, mon meilleur souvenir sportif a sans aucun doute été de voir Sidney Crosby marquer le but en or à Vancouver, lors des Olympiques de 2010 et ensuite de célébrer au centre-ville de Vancouver après le match avec, d’après moi, tout le Canada. C’était une expérience incroyable, et je ne saurais remercier suffisamment ma famille et Fais-Un-Vœu Canada d’avoir rendu cela possible.